A plusieurs reprises, la justice française a du refréner les envies, parfois extravagantes, de parents en matière de prénoms.

Depuis la promulgation de la loi du 8 janvier 1993 relative à l’autorité parentale, les parents ont toute liberté pour nommer leur nouveau-né…dans les limites du raisonnable. Comme le précise Me Delphine Meillet, avocate au Barreau de Paris contactée par BFMTV, « l’officier d’état civil peut faire un signalement au procureur » en cas de doute. Pour elle, ces derniers sont utilisés « dans les cas contraires à l’intérêt de l’enfant et restent à l’appréciation de la justice. »

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