La nomination de Christophe Girard au sein de l’exécutif de la Mairie de Paris, adjoint à la culture, a été contestée par des élus écologistes au Conseil de Paris et des militantes féministes qui  instrumentalisent les nobles causes de la lutte féministe et de la lutte contre la pédophilie.

Un rassemblement « féministe » s’est tenu le jeudi 23 juillet, en marge du Conseil de Paris, devant la Mairie de Paris, avec pour slogans « Mairie de Paris : Pas d’adjoint à la culture du viol » et « 23 juillet. Midi. Hôtel de ville- Démissionnons le soutien de pédocrimminels Christophe Girard – Appel à tous.tes. »

Ces slogans sont diffamatoires à l’encontre de Christophe Girard en ce qu’ils l’assimilent à un complice de pédo-criminalité.

Une plainte avec constitution de partie civile en diffamation publique sera déposée dans les prochains jours entre les mains du Doyen des juges d’instruction de Paris.

Christophe Girard, dont les engagements contre les discriminations sont publics et de longue date, tient à rappeler qu’il n’est mis en cause dans aucune enquête judiciaire, ayant, comme beaucoup d’autres, été auditionné en qualité de simple témoin dans l’enquête qui vise M. Matzneff.

Il s’est d’ailleurs largement expliqué publiquement sur ce sujet dans un communiqué du 12 février 2020 dans lequel il a apporté son soutien au témoignage de Madame Springora.

Il ne peut tolérer, dans ces conditions, être l’objet d’une vindicte militante cherchant à substituer le tribunal de la rue au tribunal judiciaire.

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